dimanche 11 juin 2006

Changement de vie

La vie à Paris ne fut-elle qu'une transition ? C'est bien possible ... c'est bien possible puisque'il y a de fortes chances que je quitte cette ville pour un endroit encore inconnu en Allemagne ... c'est bien possible puisque certains de mes amis d'ici ont tendance à lourdement me gonfler et que les amis d'antan, y'a que ça de vrai finalement ...

Petits regrets quant à la ville et à ma vie ici:
- pas de grandes histoires romantiques dans la ville de l'amour (que des ruptures et des plans foireux ... ça donne pas envie de tâter le terrain ou autre chose!)
- pas de découverte d'endroits bouleversants, ou du bar qui deviendrait mon repère, mon lieu de rdv avec mes amis
- peu, beaucoup trop peu de vrais découvertes amicales ...

Me voici à un moment crucial, et je ressens à peine le changement. Je vais quitter ma petite vie bourgeoise pour une autre vie sans doute encore plus bourgeoise, je vais quitter mon pays pour une autre destination, et je ne réalise pas. Ca me rappelle la Finlande. Je n'ai pas réalisé jusqu'à ce que je sois dans la salle d'embarquement à attendre mon avion, et que je lise le cahier préparé par mes amis. S'en est suivi 2 longues heures (surtout pour le passager à côté de moi) de sanglots longs. Est-ce-que ce sera la même chose ? Aucune idée en fait, et ce serait sans doute mieux que j'arrête d'y penser ...

5 commentaires:

Mademoiselle Coco a dit…

Du solltest deine Mails checken Schatz :-)

Anonyme a dit…

Depuis l'enfance
Je suis toujours en partance
Je vais je vis
Contre le cours de ma vie
Partir Partir
On a toujours
Un bateau dans le coeur
Un avion qui s'envole
Pour ailleurs
Mais on n'est pas à l'heure
Partir Partir
Même loin de quelqu'un
Ou de quelqu'une
Même pas pour aller chercher fortune
Oh partir sans rien dire
Vivre en s'en allant
Et en s'envolant
Et les gens l'argent
Seraient du vent
Mais c'est vrai le temps
Nous prend trop de temps...
Partir Partir
Même loin loin de la région du coeur
N'importe où la peau
Change de couleur
Partir avant qu'on meure
Partir Partir
Comme les trains sont bleus
Quand on y pense
Et les bateaux heureux
Quand on y danse
Oh partir sans rien dire
Mais c'est vrai le temps
Nous prend trop de temps
Et on n'appareille
Pour aucun soleil
Et pendant ce temps
On est vivant...
Partir Partir
On a toujours
Un bateau dans le coeur
Un avion qui s'envole
Pour ailleurs
Mais on n'est pas à l'heure
Partir Partir
Même loin loin de la région du coeur
N'importe où la peau
Change de couleur
Partir avant qu'on meure
Partir Partir
Comme les trains sont bleus
Quand on y pense
Et les bateaux heureux
Quand on y danse
Oh partir sans rien dire


JAMES

Nicolas alias fouine furtive a dit…

ona vu souvent rejaillir le feu d'un ancien volcan qu'on croyait trop vieux...

il a l'air de me dire que c'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes...

à ce moment là, le vieux pot c'est moi...

bon allez, c'est bon...je vais pas m'enervez...

TU SAIS C'QUI T'DIT L'VIEUX POT ! !

ne me quitte pas...ne me quitte pas...ne me quitte pas

Anonyme a dit…

Je te suivrais au bout du monde
Mymie!!!!

Mademoiselle Coco a dit…

NAAAAAAAAAAN, j'y crois pas, Tamara t'écrit ??? D'ailleurs, j'y crois tellement pas que je pense que c'est quelqu'un d'autre. J'ai même une petite idée.